top of page

Mozart et Salieri

L1081034.jpg

Piano-Forte

Karolos Zouganelis

Piano-Forte

Camille Delaforge

      

Guilhem Worms, Camille Delaforge et Karolos Zouganelis donnent à entendre ce programme mêlant voix et piano- forte à quatre mains. Refusant tout à la fois l’élitisme austère et la facilité, et choisissant un fil directeur (l’opposition et/ou la complémentarité entre Mozart et Salieri), ce programme permet de proposer à la fois des pages bien connues de Mozart (le « catalogue » de Leporello, le « Non più andrai » de Figaro) et d’autres plus rares mais toujours séduisantes et accessibles (le An Emma de Mozart fils, le splendide In questa tomba oscura de Salieri). Le concert s’ouvre par ailleurs par un extrait du Mozart et Salieri de Rimski-Korsakov, mise en abîme du rapport entre ces deux personnages. 

 

 

Durée 1h20

W. A. MOZART, Sonate à 4 mains K 381, Andante, Concerto pour piano K 488, Don Giovanni, Madamina (Leporello), Die Zauberflöte, In diesen Heilgen (Sarastro), Männer suchen stets zu naschen Abendempfindung 

F.X. W. MOZART An Emma 

A. SALIERI, In questa tomba oscura 

Tornate sereni (Divertimenti vocali) 

« Il y a chez Guilhem Worms une forme de spontanéité dans le chant, de plaisir à pratiquer son art, de rayonnement, qui lui donnent auprès du public un capital sympathie précieux … la voix possède toujours ce grain personnel, la projection est toujours aussi aisée et efficace, la capacité à incarner les personnages est intacte... des aigus sonores et glorieux et des graves profonds et bien timbrés...avec un subtil jeu sur le clair-obscur, la sollicitation de nuances piano ou pianissimo toujours très bienvenues...et un legato porté par un souffle parfaitement contrôlé » 

« La réussite de ce concert n’aurait sans doute pas été complète sans la participation de deux musiciens magnifiques : Camille Delaforge et Karolos Zouganelis qui, au pianoforte, ont fait preuve d’une rigueur stylistique et d’une musicalité de tous les instants. Dans la sonate en ré majeur à 4 mains K. 381 de Mozart, les deux pianistes tantôt dialoguent avec finesse et subtilité, tantôt se passent le relais avec une complicité évidente. Quant au silence religieux de l’auditoire pendant l’adagio du Concerto pour piano n° 23, il témoigne du pur ravissement dans lequel la musique et son interprétation sobre et recueillie ont plongé le public. » 

Première Loge

3 artistes

Basse Baryton

Guilhem Worms

bottom of page